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Adhésion des particuliers au comité

Le comité est ouvert aux organismes mais surtout aux particuliers

Adhérez !

Comment adhérer ?

Le montant minimal de l'adhésion est de 20 euros (vingt !). Il nous permet de couvrir les dépenses classiques d'une association (assurances, frais postaux, etc.), nos frais de diffusion des arguments du CRÉLOC, et les déplacements nécessaires à la poursuite à notre objetif : la réouverture complète du CRÉLOC. Heureusement, la plupart des souscripteurs ne considèrent pas cette somme comme un plafond.

Vous pouvez télécharger le bulletin d'adhésion ici, et le renvoyer à l'adresse indiquée.

Vos droits d’adhérent :

Vous serez informé de nos manifestations à venir, vous serez convoqué à nos assemblées générales et vous recevrez la Lettre du CRÉLOC dont vous pouvez voir ici la collection des numéros passés en PDF.

Vous pouvez éventuellement vous présenter pour participer au travail du bureau du comité.

Il n’y a aucun doute maintenant, l’action du CRÉLOC et de son homologue espagnole la CREFCO, porte ses fruits, ce n’est pas le moment d’abandonner le chantier.

L’adhésion au comité n’est pas symbolique, elle est essentielle

La définition même du mot comité l’indique :
Réunion de personnes prises dans un corps plus nombreux (assemblée, société) pour s’occuper de certaines affaires, donner un avis.

L’affaire du CRÉLOC c’est la réouverture de la ligne Oloron–Canfranc. Point. Le CRÉLOC est donc voué à son autodestruction dès l’accomplissement de son but. Et ce n’est pas la victoire partielle que représente la réouverture en 2016 du tronçon Oloron--Bedous qui va arrêter le train de notre détermination.

Notre projet est 100 % cohérent avec la préoccupation majeure de l’humanité : la défense de la planète.

Nous le disons et démontrons depuis 24 ans, bien avant la prévision de la raréfaction des énergies fossiles, avant l’annonce du trou de l’ozone, de l’émission des gaz à effet de serre, de la fonte imminente des glaciers et de la calotte polaire. Nous le disons exactement depuis 1986, l’année de l’accident de Tchernobyl.

Or, dans l’une des photos que nous présentons dans ce site pour l’agrémenter, nous apercevons, à gauche de la voie bien nettoyée mais encore déserte, le toit d’une centrale hydroélectrique de montagne. Ce n’est qu’un hasard, car de l’amont à l’aval, 9 centrales* plus ou moins importantes bordent la voie, les puits de pétrole se trouvant beaucoup plus loin. On voit la même chose du côté espagnol. Les Pyrénées-Atlantiques ont bien du pétrole, mais c’est en chemin de fer qu’il est exporté du gisement de Lacq.