
Dans
l'équipage
de la
carotteuse,
ici à Bedous
au pont
du Gabarret,
à
l'entrée
de la gare
côté nord,
ce sont les
grandes orgues,
donc un
sondage méticuleux.

Ici
une
foreuse
légère, mais
très
rapide,
vérifie
l'état
du
ballast
par
sondages
successifs
peu
profonds.

Un
autre
type
de
foreuse
sonde
le
ballast
en
position
à
la
culée
nord
du
viaduc
du
Sarthou
(sur
le gave
d'Aspe,
entre
Lurbe
et Escot).

Voici
le
point
de
forage
de
la
foreuse
précédente.

Ailleurs,
les
engins
lourds
avancent aussi,
elles
seront
pour
nous
les
chenilles
de
la
liberté
(on
demandera
leur
fonction
exacte
à
notre
photographe
de
terrain).
.

Ici
un des
nombreuses
mires jaunes
qui
jalonnent
le
grand
chantier
tout
en
longueur.
Le
débroussaillage,
qui était
cantonné à
la voie, est
élargi aux
rives de l’emprise
de la ligne.
On imagine
que tous les
engins qui
doivent enlever
les rails,
triturer le
ballast, repositionner
la voie doivent
travailler
dans
un environnement
bien dégagé.
On a vu le
chantier
de Latour-de
-Carol,
c’est très
important.

Voici
une
épareuse
à chenilles
de grand
format
qui
agit
entre Gurmençon
et Lurbe,
près du pont d’Arros,
il faut
que le chantier
soit au large.
D’un
côté et de
l’autre
Cette
photo nostalgique de rails qui s’enfouissent dans
les feuilles d’automne
pourrait
représenter
le
progrès
dans des temps
aujourd’hui
révolus,
ceux
« de la marine à voile » comme on dit dans les
salons…
Sauf
que la voile
enthousiasme de plus en plus les foules
et
que le train est considéré comme le transport
de
l’avenir
dans
les pays civilisés, ci-dessous à Sabiñanigo
de
l’autre côté du Somport.

Sabiñanigo, dans la provice de
Huesca, a la taille d’Orthez mais possède
une
industrie chimique qui nécessite un transport
sécurisé.
Nous
ici, on tremble dans la vallée
lorsque
des
camions
qui
viennent de Los Fósforos doivent
passer le
Somport.
De
la
nostalgie si on en veut…
 Ce
n’est pas une ruine
des Mayas, ce n’est pas la ligne Maginot non plus,
la
plante
verte
est
une
scolopendre,
le
lierre court sur la maçonnerie,
ce
serait romantique si ce n’était pas la culée du
pont de l’Estanguet,
côté
Somport, à l’abandon depuis quarante ans.
Un
œil exercé pourrait voir l’autre côté du pont, des
morceaux dans l’eau,
le
gave d’Aspe furieux coule vers la droite, donc,
ceux
d’en
face iront au Somport, à Canfranc et à Sabiñanigo
s'il faut,
quand
le pont sera enfin reconstruit !
¡Hasta pronto!
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