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* * * Lus * * *

 

dans la presse recemment

Les dernières nouvelles laissent transparaître que nous devons tenir bon car la réouverture totale est bien sur les rails…

Coupure de presse

L’article dans L’Eclair des Pyrénées en papier.

 

L'Éclair      

 

Le texte dans l’Éclair des Pyrénées et dans la République des Pyrénées

 

Liaison entre Oloron et Bedous :
les travaux devraient débuter fin 2013

 

Réseau ferré de France a confirmé hier que la ligne Oloron--Bedous pourrait être mise en service fin 2015.

Bruno de Monvallier, le directeur régional de Réseau Ferré de France, l’a confirmé hier à Orthez : « Les travaux de remise en circulation de la ligne ferroviaire entre Oloron-Sainte-Marie et Bedous devraient débuter fin 2013 pour une mise en service fin 2015 ». Un chantier de 105 millions d’euros financés à 100 % par le Conseil régional d’Aquitaine.

Les études sont en cours sur cette ligne qui, comme le rappelle RFF, compte 28 ponts, 46 ouvrages hydrauliques, plus de 4 kilomètres de murs de soutènement, 7 tunnels et 27 passages à niveau. Le chantier sera donc d’envergure, puisqu’il s’agit de remplacer l’ensemble de la voie, de réparer ou remplacer tous les ouvrages, de créer les haltes de Bidos, Lurbe-Saint-Christau, Bedous et l’aménagement de la gare d’Oloron, de supprimer neuf passages à niveau, de rénover les dix-huit restants — dont seize seront automatisés — et d’installer enfin tout le système de signalisation. L’enquête publique est prévue en mars 2013, ce qui permettrait d’avoir l’arrêté préfectoral de déclaration d’utilité publique au cours de l’été.

Et Bedous-Canfranc ?

Concernant le tronçon entre Bedous et Canfranc, aucune date n’est avancée. RFF a engagé des études en lien avec les Espagnols. Il s’agit notamment de déterminer dans quelles conditions réutiliser l’ancien tunnel ferroviaire qui sert aujourd’hui à assurer la sécurité du tunnel routier du Somport. Et aussi de voir comment optimiser les coûts pour remettre en état cette voie. « Il y a encore un certain nombre d’études techniques, juridiques et administratives à mener », reconnaît Bruno de Monvallier. Autre question : est-il possible de relancer cette ligne dans le cadre d’une concession ? C’est, là encore, à l’étude.

 

et aussi…

Sud Ouest

Un autre texte dans le Sud Ouest

 

Publié le 24/11/2012 à 06h00 Par N. L.

LGV : dossier en attente

Tout est prêt pour la saisine de la commission du débat public mais l’État a demandé un délai.

L’inauguration du nouveau passage souterrain en gare d’Orthez, hier matin, a donné l’occasion à Bruno de Monvallier, le directeur régional de Réseau ferré de France de faire un point sur les dossiers ferroviaires dans le département.

Parmi eux, il n’a pas échappé à quelques questions sur la ligne à grande vitesse (LGV) Béarn-Bigorre. Dans ce dossier, le responsable a indiqué que « le dossier avec ses différents scénari » était prêt à partir pour une saisine de la commission nationale du débat public. Mais un frein est récemment intervenu dans le dossier puisque l’Etat a demandé à RFF de surseoir au dépôt du dossier. Celui-ci devra donc rester au chaud en attendant les conclusions de la commission d’évaluation du schéma national des infrastructures de transport qui doivent être rendues public au printemps. « Cette commission doit définir les priorités dans les différents projets », a souligné Bruno de Monvallier.

Étude pour Bedous-Canfranc

Un vent d’optimisme est, en revanche, arrivé du côté de la ligne Oloron-Bedous. La procédure administrative suit son cours et l’avis de l’autorité environnementale est attendu pour la fin du mois de janvier 2013. La déclaration d’utilité publique pourrait donc être déposée l’été suivant. « En parallèle, nous menons une étude de détail notamment pour élaborer le dossier de consultation des entreprises », ont expliqué les responsables de RFF. Car sur ce tronçon de 25 km, qui est « impropre » à la circulation, « il faut tout enlever et tout recommencer ».

En parallèle, deux études sont menées sur la portion Bedous--Canfranc. Elles concernent d’abord la réutilisation du tunnel ferroviaire. « Nous réexaminons les études réalisées il y a quelques années et qui portait le coût de l’opération à 300 millions d’euros, explique Bruno de Monvallier. Ce réexamen se fait dans le cadre d’un moindre tonnage de fret. » Dernière piste actuellement envisagée dans le contrat de projet État-région : la concession de la ligne Bedous-Canfranc à un opérateur. « Il pourrait être espagnol ou canadien mais il faut voir s’il est possible d’établir une concession », ajoute le directeur régional.

12 min supplémentaires

Plus proche dans le temps : les importants travaux de régénération de voie entre Pau et Dax qui débuteront le 7 janvier jusqu’en avril 2014. Ce chantier aura des conséquences pour les voyageurs qui mettront 12 minutes supplémentaires pour rallier les deux villes. Financés par RFF à hauteur de 162 millions d’euros, les travaux concernent les deux voies.
Quant au pont sur l’Adour qui a « connu quelques soucis », les délais devraient être respectés. « Il sera mis en service en février 2014 », a assuré Bruno de Monvallier.

esp